Une rencontre dans l'inconscience ... | Libre

Une rencontre dans l'inconscience ...
Libre

Maellie avait pris sa chienne dans les bras et était sortit dehors. Douchka dormait encore. Elle n’avait pas remarqué qu’elle n’était plus dans son panier. Une fois dehors, la jeune fille déposa sa chienne par terre. Elle partit ensuite se cacher derrière un arbre. Quand la chienne se réveilla, elle commença à couiner. Maellie était toujours derrière l’arbre et s’empêcher de pouffer de rire, quand un rongeur sortit des fourrés. Celui-ci commença à courir vers la chienne. Douchka commenças a s’inquiété et pris la fuite a grand allure, le rongeur sur ses talons. Maellie se rendit conte de sa faute beaucoup trot tard. Sa chienne était loin, et elle risquait de ne jamais la retrouvés. Elle n’avait pas voulu que cela arrive, mais elle se promit de ne plus jamais faire peur à sa chienne. La jeune fille avait les larmes aux yeux. Elle prit son sac et le mis sur son dos puis partit en courant dans les bois. Des paroles criant un nom bien connu se répandait dans la forêt. Des larmes venaient aussi se poser sur les feuilles qui étaient tombé au sol. Maellie courait toujours dans les bois criant le plus fors possible, quand elle tomba au sol. Elle gloussa puis éclata en sanglot. Jamais elle n’avait été aussi triste. Jamais elle n’aurait cru que cet incident arriverait un jour. La jeune fille se mit sur le dos, regardant le ciel, puis cria une dernière fois le nom de sa chienne avant de pleurer de plus belle. Tous les arbres s’agitèrent, puis des dizaines d’oiseau s’envolèrent en piaffant, laissant dans la forêt une fille de neufs ans qui avait tout perdu.

Douchka courait le plus vite possible. Le rongeur, qui à vrai dire avait une belle taille, la suivait en courant aussi vite que la chienne. Celle-ci arriva aux falaises. Elle courait agilement sur la fine et étroite route de pierre, semant peu à peu le rongeur. Elle haletait et avait de plus en plus de mal à garder sa vitesse. Elle faillit tomber. Dans son déséquilibre, elle couinât, mais réussi rapidement à se remettre en place. Elle ralentit l’allure, et comme elle n’entendait plus le couinement du rongeur, elle s’arrêta et se retourna. Plus de rongeur. Plus de bêtes avec de grandes dents. Plus de grosse bête. Douchka pencha sa tête vers le ravin et vit, tout en bas, le rongeur. Il était inconscient, surement, mais aussi sans doute mort. La chienne, soulage, marcha devant elle, la tête toujours tournés vers le vide, et vers la bête. Douchka marcha, puis mit une patte dans le vide. Elle remit à tête devant, mais trot tard. La chienne poussa un long hurlement pendant qu’elle tombait. Elle essayait de se rattraper en plantant ses griffes dans la roche, mais rien n’y fit. Elle tomba lourdement au sol et y resta, sans bouger. La chienne, presque inconsciente, entendit quelques bruits de pas avant de tomber dans le trou noir …

[ Je peut venir ? ]

[Oui !]

C'est le matin ... Un matin doux et chaud, paisible et ensolléillé. Loubar se réveille doucement dans son panier. Il s'étire, baille a se décrocher la mâchoire et commence a se réveiller ... Puis il sort de son panier et commence a trottiner dans les couloirs et les pièces de la maison ... Il zigzag entre les jambes des grandes personnes et joue avec les petites personnes ( les enfants ) puis sort dans le jardin. Bientôt Zoé et Zack, surnommé " Z et Z " viennent avec lui ... Ils jouent au ballon. C'est super le ballon ! Le chiot court partout, essayant d'attraper le gros ballon de foot dégonflé. Soudain celui-ci tombe sur lui. Le chiot se mit a couiner et court a l'aveuglette. Il commence a piétiner les plates-bandes et rentre dans la maison où il laisse pleins de traces de boue et se fait chasser a gros coups de balais par Maman de Z et de Z puis s'enfui dans les buisson en compagnie du ballon toujours a l'aveuglette ... Zoé se met a pleurer et Zack essaie de rattraper son chien ... Mais sa petite soeur le freine et continue de pleurer ... Leur cavalcade les mène jusque dans une forêt Zoé, cramponnée a son frère se pleure tellement qu'elle n'aura bientôt plus du tout d'eau dans le corp et Zack aussi commence a être inquiet ... Un si petit chiot de peut pas vivre tout seul dans la nature ... Z et Z sont fatigués, Z et Z ont faims, Z et Z n'en peuvent plus et sont pleins de désespoire ... Mais surtout : Z et Z ont peur, ont très peur pour leur ami a quatre patte ...

De son côté le petit Loubar s'est débarassé de son ballon et cherche ses copains qui le ramèneront a la maison ... Alors Loubar marche, il marche a sa vitesse, avec ses petites pattes toutes fatiguées ... Puis il sent soudaine une érange impression ... Celle de ...

Il tombe ... Son coeur bat. Il veut s'accrocher. Il a beau s'acrocher, il tombe ... Il glisse, se cogne et se réveille un quart d'heure après ... Sur un chienne un peu plus grande que lui. Il aboie, coine, lui dit de se relever, la pousse et pleure a sa façon pour appeler Z et Z ... Il veut remonter. Il ne veut pas rester ... Il regarde vers le haut, il veut voir deux têtes famillière dépasser ... Il veut sortir ... Il muremure :

- Aller ... Faut plus domir ... Faut remonter. Viens ...

Une petite boule de poil tombe sur la chienne, évanouie. Un petit chiot, qui a surement un ou deux mois, est lui aussi, évanoui. Les deux chiots sont l’un sur l’autre, tout les deux inconscient, ne sachant pas se qui se passent. Le premier à se réveiller, c’est le petit chiot. Il commence à aboyer, couine et pousse Douchka, qui est encore allongée par terre. Quand le chiot parle à la petite chiote, celle-ci se réveille, comme par magie. Elle se lève maladroitement, puis encore un peu étourdie, marche vers le petit chiot. Elle distingue à peine la silhouette de son interlocuteur. Tout est flou. Elle arrive seulement à distinguer son museau et les quelques poils qui tombe devant ses yeux noir. Arrivé en face du chiot, elle s’écroule, comme quand elle est tombée. Douchka reste plusieurs minutes, gisante sur le sol, couinant de temps à autre comme pour appeler sa maîtresse. Elle relève ensuite sa tête. Elle peut enfin voir à quoi ressemble le chiot. Rien n’est flou, tout est parfait. Tous les contours se distinguent entre eux, et la chiote peut enfin voir le monde comme il l’a toujours été. Elle se relève, s’étire plus ou moins longtemps puis regarde le chiot. Elle reconnaît là un bouvier bernois. Mais ce chiot là n’est guère plus grand qu’elle. Pas comme son copain Boubou. Enfin bref. Douchka souri maladroitement au chiot, puis fait volte face. Elle regarde en haut, puis en bas, puis encore en haut, et se décide à avancer vers la muraille de roche. Elle se met en position et saute sur la muraille. Elle arrive à se poser sur une sorte de petite plate forme, assez grande a dire vrai. Douchka se retourne, se couche, puis en penchant sa tête vers le bas, donc vers le chiot, et lui dit, d’une voie bien décider à sortir de se trou :

- Viens ! Je vais te tirer ! Si on répète cette opération beaucoup de fois, on pourra sortir !

Une pensée envahie soudain l’esprit de Douchka. Et si, quand ils seront tout la haut, elle laisse tomber le chiots ? Et si c’est elle qui tombe ? Elle eu un pincement au cœur, mais maintenant, elle ne pouvait plus reculer …

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