Rencontre |Libre mais Max répond en premier

Rencontre
Libre mais Max répond en premier

Le soleil se lève et passe à travers des rideaux épais qui ornent les vitres de la chambre. Cette chambre et ornés de posters de chiens, et plus précisément de bergers allemands. Maellie dorent sur son lit en hauteur et commences à se réveiller. Quand elle finit d’ouvrir ses yeux, elle souffle puis allume sa radio. Elle écoute des musiques classique, des music qui douce, mais le matin, pas de rock. Il ne faudrait pas qu’elle réveille sa chienne qui dore sur son bureau. Cette chienne, c’est Douchka. Elle se réveille exactement une demi-heure après sa maitresse, ce qui laisse le temps à Maellie de faire sa toilette. Celle-ci descend lentement de son lit, sans faire de bruit, puis arrivé sur son plancher, elle se dirige vers son armoire. Celle-ci est basse, et sur son dessus se trouve une multitude de figurine. Des grosse, des petites, des moyennes, des réaliste … Au milieu de toutes ces chiens se trouve une boite rectangulaire. La jeune fille l’ouvre, prend la télécommande qui s’y trouvait et éteints sa radio qui continuait de tourner. Une fois la radio éteint, la rouquine regarde sa chienne puis part en direction de la salle de bain. De la chambre, On peut entendre l’eau couler et Maellie siffloter. Puis des bruits d’eau suivie d’un silence complet. La jeune fille est dans son bain et n’y ressortira que dans exactement vingt minutes, ce qui lui permettra de voir Douchka se réveiller, après quoi elles iront se promener.

Vingt minutes exactement se sont écoulées. On peut entendre le bruit de l’eau qui s’écoule par le tuyau qui va pour rejoindre les égouts. Maellie s’habille en vitesse et rejoint sa chambre en courant sur la pointe des pieds. Elle s’assoit rapidement sur sa chaise pivotante et regarde sa chienne qui ouvre doucement les yeux. Douchka lève sa tête et baille en émettant un petit sifflement aigu. La chienne se mets sur ses quatre pattes, s’étire longuement puis commence a remués sa queux. Elle s’avance vers sa maîtresse et commence à lui lécher le visage de grand coup de langues. Maellie repousse gentiment sa chienne en rigolent, puis lui fait signe de la suivre. La chienne exécute et suit sa maitresse. Les deux filles descendent l’escalier en courant. Une fois dans le ré de chaussés, elles se dirigent vers la cuisine. Maellie prépare son petit déjeuner, mets les croquettes de sa chienne dans sa gamelle et s’assoies en face de son bol. Douchka, elle, s’assoie en face de sa gamelle. Elle aboie une fois, puis sa maîtresse l’imitent, et elles aboient ensemble puis commence à manger. Comme tous les matins, les deux filles font le compte a rebours et mange ensuite le plus vite possible. Et comme a chaque fois, c’est Douchka qui finit la première. Elle aboie plusieurs fois, pour dire qu’elle a finis, puis Maellie finis a son tour. Elle s’essuie avec sa manche, malgré que ses parent lu répète sans arrêts de ne pas la faire, puis se dirige vers le frigidaire et en sort un bout de jambon. Elle la lance a sa chienne qui s’était entre temps assis puis sautent sur Douchka. La chienne, elle, attrape le jambon puis part en courant vers la porte, la queux dressé se balançant légèrement. La jeune fille tomba par terre, se relève en un bon majestueux et court vers sa chienne qui passe par la chatière de la maison et rejoint le jardin des Stanley. Maellie se dépêche de prendre la laisse et le collier de sa chienne puis la rejoint dehors, une brosse à la main.

Une fois dehors, la jeune fille se dépêche d’attacher sa chienne puis sort La brosse de sa poche. Elle enlève les poils de sa chienne qui y sont resté puis commence à se coiffer. Douchka aboie de mécontentement. Elle aurait préférer être brossé en première. Maellie accélère l’allure et finis de se brosser en vitesse. Elle s’accroupie puis coiffe sa chienne. Les poils morts s’envolent au passe de la brosse, et les autres poils se démêlent et s’aplatissent sur la robe de la petite chiote. Celle-ci reste calme et ne bouge pas d’un poil. Elle émet de petits grognements de joie, et des fois, tape la terre de sa patte arrière. Quand sa maîtresse se relève et avance vers la maison pour remettre la brosse à sa place, Douchka trottine vers le petit lac et lape l’eau fraiche. Maellie pose la brosse et claque la porte. On peut entendre un cri venant de la maison. Surement les parents qui crient pour que leur fille ne claque pas la porte. Mais Maellie ne fait pas attention a sa mère qui continue de hurler et cours à son tour vers le petit étang. Elle attrape la laisse de sa chienne puis les deux filles partent en courant vers la rue. Maellie ouvre le portail, passe de l’autre cotés et le referme aussi tôt. Elle commence à marcher vers le parc, avec à ses cotés, sa chienne qui la suit de près.

Les deux filles arrivent au parc des loups. Maellie prend bien soins de fermer le portail puis lâche sa chienne. Celle-ci part en courant puis grimpe sur une statue de loups couchés. Douchka rentre dans sa gueule qui est ouverte. Seule sa tête ne peut pas entré. Mais sa maîtresse est tellement gentil qu’elle fait comme si de rien n’était et passe à côtés de la chienne en faisant semblant de ne pas la voir. Quand la jeune fille s’arrête devant la statue, la chienne lui saute sur la tête. La jeune fille tombe, non sans le faire exprès, puis la chiote commence à lui lécher la figure de nouveau. Maellie fait la morte, ce qui surprit sa chienne. Celle-ci arrêta de lui lécher la figure puis commenças à couiner en lui frottant sa joue avec son museau. La fillette ouvre les yeux puis pris la chienne dans ces bras. Douchka commences à remuer sa queux A chaque fois que sa maîtresse lui fait le coup de la mort, elle est encore plus heureuse de la retrouver, et la jeune fille en profite souvent. Elle posa sa chienne sur le sol puis se relève en frottant son pantalon qui était plein de terres. Douchka la regarde de ses yeux marron puis se tourne vers le grillage du parc. Elle grogne doucement, aboie fort puis file entre les jambes de sa maîtresse. Celle-ci est surprise par les aboiements de sa chienne. Elle regarde en direction du portail et plisse les yeux pour mieux voir. On peut apercevoir un husky noir et blanc sautés par-dessus le grillage. Maellie, apeurés, commence a reculer, oubliant sa chienne qui était derrière elle. Elle tombe donc sur Douchka, qui arrive a s’extirper des jambes de sa maîtresse et s’installe derrière un statues, la tête regardant le chien. La jeune fille suit sa chienne, et les deux filles se retrouvent derrière une statue de loup, espérant que le chien ne les attaque pas.

Malheureusement pour elles, le huskys les suit. Elles partent en courants vers la ville, mais se trompent de chemin et atterrisses dans une forêt. Le chien les suivait depuis tout alors. Il faut faire quelque chose. Maellie sort de son sac à dos un harnais, qu’elle prenait toujours avec elle au cas où elle ferait de l’obé rythmés avec Douchka. Mais cette fois, ce harnais a une toute autre utilité. Elle l’enfile à sa chienne, l’attache avec une corde er noue cette corde à son sac. Quand la jeune fille remets son sac sur le dos, la chiote se retrouve soulever dans les airs. Maellie commences à grimper à un arbre. Elle monte dans le feuillus à une vitesse impressionnante malgré le poids qu’elle doit supporter. La jeune fille s’arrêtes et s’assoies sur une branche, toutes essouffler. Elle détache sa chienne en tenant fermement la corde et la fait venir sur ses genoux. Douchka s’allonge sur les genoux de sa maîtresse et regarde vers le bas. Il n’y avait plus personne. La chienne ferma les yeux mais entendit des grognements. Elle ouvre les yeux et vois un loup qui rode au tour de l’arbre. Il sauta vers la jambe de Maellie qui pendouille dans le vide. Ses dents s’accrochent à la chaussure de la jeune fille, qui pousse un cri terrifié en secouant son pied. Le loup tomba par terre, la chaussure dans la gueule, puis repars en poussant des couinements de douleur. Maellie souffle un bon coup. Soudain, un bruit de pas se rapproche des deux jeunes filles. Encore lui ! Le huskys noir et blancs se trouvait en bas de l’arbre. Maellie, pour être plus en sécurités, monte quelques branche en faisant bien attention de ne pas faire tomba sa chienne. Elle regarde le husky qui désormais de pouvait plus l’attraper puis commence à caresser sa chienne qui était apeurés.

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